ILLUSION D’OPTIQUE: L’ombre du déchu – Par Amadou DIOP «Carter»

Si ibou ndaffa serai derrière tout ceci ? retard de la déclaration de politique générale, défiance aux institutions monétaires et partenaires financiers, confrontation état Vs presse et même pour finir, l’affront entre exécutif / judiciaire et exécutif / législatif…

Et si, il en voulait vraiment au président du conseil constitutionnel du fait qu’il lui a tordu le bras pour le forcer à tenir dans les plus « brefs délais », le scrutin présidentiel du 24 Mars afin de servir, malgré lui, le pouvoir sur un plateau d’argent à ses pires détracteurs qu’il aurait ressuscité selon un protocole fantôme après avoir réussi le pari du gatsa gatsa : il a tué l’ambition de celui qui avait promis de le tuer (3è mandat).

En politique, faudra jamais dire jamais. Moi étant acteur, j’ai vu d’actuels ministres et directeurs généraux, qui à l’époque, m’avaient infligé une réponse cinglante en rejetant toute idée de s’asseoir voir se coaliser pour soutenir aussi bien Koromack ou Serigne Ngoundou. Leurs alliés « opportunistes » les plus gueulards aujourd’hui servis du gâteau ne le démentiront pas : les captures sont là et parleront un jour…

Si koromack a osé publiquement menacé une composante du premier pilier de notre démocratie, la justice avec un éminent magistrat du conseil constitutionnel, ce n’est pas un hasard. Kou niémé nagn leu dée..

Ne soyons pas assez amnésique pour oublier que c’est Ibou Ndaffa qui a voulu coûte que coûte sauver la peau de boy thioker niché au qatar et qui voulait bel et bien jouer aux troubles fêtes. Sa candidature farfelue par procuration depuis les émirats arabes, arrondie d’un bel speech animé via intelligence artificielle, montrait clairement pour nous data analyste et spécialiste de l’IA, que ce n’était que du bluff. Dey soob, sénégaal niorouko.

Et pour se racheter du protocole de massalikoul jinane, il fallait sauver les meubles puisqu’il n’a jamais honoré sa promesse devant al Mountakha d’aller rendre visite à ndiombor, de la même sorte qu’il a joué un tour de magie à son vrai faux candidat : borom nouvelle responsabilité : Serignou Daara. Quel SALL coup !

Pour boy thioker, à qui je souhaite vraiment que la procédure de renonciation à sa nationalité ne soit pas effective, sa candidature écartée a plongé brièvement ce pays dans l’incertitude d’assister à des élections paisibles et le tout couronnée d’une tentative de sabotage orchestrée depuis la place sowéto par les sbires du parti piloté via whatsapp.

Ces anarchistes poltrons en quête de crédibilité avec leurs sorties aux épisodes de Louis de Funes et Fantomas… se cachent sous un communiqué non signé pour accuser des juges constitutionnels, l’espoir d’une candidature appuyée par une abrogation à l’improviste du décret convoquant le collège électoral à 24 heures du début de la campagne présidentielle… L’émir, le séjour, le protocole… creusez, vous trouverez.

Qu’est ce que Bad’dio bi a fait à Koromack ak « boy thioker » pour qu’ils s’attaquent indirectement à lui? Rien, nada. Le juge a dit le droit et qu’ils leur déplaisent ou non, notre chemin n’est pas dedans, le droit est impersonnel et général et nul aurait été le droit, enrôlé dans un projet d’amnistie, il n’y aurai jamais Serigne Ngoundou ni Koromack.

Avec la condamnation définitive de koromack, personne dans ce monde ne pouvait croire un seul instant qu’il pourrait incarner « boy jinné » jusqu’à voir sa candidature validée. Hélas, nul n’est dans le secret de Dieu. Yalla rékay bour, personne d’autre.

Sans le courage du conseil constitutionnel à dire le droit, les éléctions allaient incertainement se tenir en décembre dans un scenario panafricain prémédité depuis eutou baabel. Sou koromack xamoon lou wank di dox noor (ce qui se mijotait), il ne s’en prendrait jamais à bad’dio bi dans sa comédie show à l’image de jamel debbouze au marrakech du rire. Saafi!

Tout le monde pointe du doigt Koromack dans son diatribe violent. Si ndaffa voulait que ce problème ne soit soulevé, ni celui du problème de la magistrature, il aura déjà réglé le problème de l’amnistie fiscale de la presse ainsi que d’autres sujets sensibles avant de partir : fonds covid, détournement de deniers, foncier, prodac, etc…

Pour ma part, ce n’est que du show tout chaud. C’est parce qu’il s’était senti hyper méga persécuté par la presse internationale impulsée par la presse locale qu’il fallait coute que coute désamorcer cette campagne de lynchage médiatique en donnant une goutte de collyre à la presse locale et se redorer une nouvelle image d’envoyé spéciale 4P (Pour la Pérénnisation du Protocole du Projet)… Ay door la.

Les paroles et promesses des « politiciens » n’engagent que ceux qui y croient. Ndiombor est à zero mètre. On s’attendait tous à une visite XXXL de serigne ngoundou à ndiombor après sa victoire en tant que première sortie après celle aux khalifs comme on dit béy sisa wéwou tank.

Hélas, Ndiol passe dabord ensuite ndiombor maybe suivi d’ibou ndaffa avec tous les honneurs du royaume chérifien : marhaban bikoum ya raayis.

Si c’est dans ce format qu’il faudra rendre visite à ceux qui méritaient d’être fusillé… commencez par le commencement : recueillez vous devant la tombe de Kor Diogoye si ce n’est déja fait avec le rachat de ses biens qui ont faillis être bazardé aux enchères. Mais bon, Kor Diogoye vous est reconnaissant même si l’envie de restaurer la diplomatie de Mamadou Dia vous taraude l’esprit en attendant de vous expliquer auprès de ceux qui n’hésiteront pas un seul instant, à mettre dehors nos frères « panafricains », ils sont dans le viseur de l’AES. Labas, ils disent que vous leur avez vendu du toc. Thiey yalla, le porozet.

Jusqu’à l’extinction du soleil, je ne cesserai de croire, pour ma part que c’est ndaffa qui est aux commandes des manettes. Tel un ludo, il fait bouger les pions à distance. Avec les technologies de pointe, il est désormais possible de prendre à distance le contrôle d’un état tel un ordinateur pour régler ses comptes sans l’ombre de sa silhouette surtout lorsqu’on est président sortant disposant d’un calculateur fraichement mis en route pouvant télécharger le pays entier en moins de 5 minutes. Suivez mon doigt… the brown hacker. Lén amna, fii apr parénafi. C’est fini.

N’en voulais pas à koromack ni à Serigne ngoundou, tout ça c’est ndaffa et sera le seul et unique responsable de tout ce qui vous arrive jusqu’à son retour sur la scène politique. Il est le conseiller numéro un de celui à qui on surnomme cryptologiquement « kocc ». L’avenir nous en dira plus. Quelque soit le pouvoir de koromack renforcé par Serigne Ngoundou, nous avons l’ultime obligation fe préserver la sacralité des pouvoirs. Législatif ou judiciaire, ils ne valent pas moins que l’exécutif. Fracassez les juges et les députés et le pays ne tiendra que sur un fil : l’exécutif. Disloquez les entreprises de presse, dissolvez les webtv, la presse renaîtra de ses cendres.

En attendant de connaitre où nous mène Serigne Ngoundou le saltigué, j’invite Koromack a soulager notre soif. J’attends impatiemment son discours de politique général en réservant d’avance un billet aller-retour pour savoir comment soutenir la politique publique de notre Président, président de tous les sénégalais, y compris ceux qui ne l’ont pas élu tout en souhaitant que la vision 2050 ne soit qu’un effet d’illusion d’optique comme le projet « panafricain » à la macronie.

 

A suivre…

 

Amadou DIOP Carter

Expert In

formatique

Président du Parti Doxal Senegaal

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