Né le 1er janvier 1956 à Louga (Sénégal) Khalifa Sall, est un Homme politique, membre du parti socialiste, plusieurs fois ministre sous la présidence d’Abdou Diouf, maire de Dakar de 2009 à 2018
De parent commerçant, il a grandi à Dakar dans le quartier de Grand Yoff. Il a fréquenté école primaire Mor Fall il poursuit ses études au Lycée Blaise Diagne où il obtient son baccalauréat .IL s’inscrit à la faculté des lettres au département de Histoire et de Géographie à l’Université Cheikh Anta Diop
Entre-temps, il a enseigné comme professeur d’Histoire –Géographie dans un collège IL (lequel) de 1981 et 1982.IL obtient une maitrise d’histoire, puis un maitrise en droit constitutionnel en 1983.
En 1983 à la faveur des élections générales, il devient députe à L’Assemblée nationale, l’un des plus jeunes de cette législature marquée par la présence de plus en plus imposante de l’opposition diriger par Abdoulaye Wade
De 1984 à 2001, il est adjoint au maire de Dakar Mamadou Diop. En parallèle il reste députe jusqu’en 1993 comme membre du bureau, année au cours de laquelle il entre au gouvernement comme ministre délégué auprès du première ministre chargé des relations avec les Assemblées en succédant à ce poste à Coumba Ndofféne Bouna Diouf.
Il est le premier maire de la nouvelle commune d’arrondissement de Grand Yoff, de 1996 à 2000.
Le 18 avril 2009, Khalifa Sall est ainsi élu maire de Dakar. S’inspirant des conclusions des Assises Nationales prônant une gestion inclusive et participative, il fait de la transparence son cheval de bataille, déclinée, autour de deux axes majeurs : la bonne gouvernance avec l’objectif d’un service public municipal de qualité rendu aux citoyens suivant les standards les plus élevés de la transparence ; et la démocratie participative au moyen de nouvelles dynamiques inclusives afin de crées des cadres de mobilisation d’une citoyenneté active et vigilante.
Khalifa a également participé à plusieurs missions d’observation de l’Union africaine, sur les élections en Afrique. Il a été le secrétaire général de L’AIMF (Association Internationale des Maires Francophones) et le président de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLUA)
Khalifa SALL est réélu maire de Dakar, battant Amina Touré –alors première ministre –dans la localité de Grand Yoff. Khalifa dirige la coalition Taxawu Dakar ; qui gagne 15 des 19 Commune de Dakar
La nuit du 7 au 8 mars, 2017, Khalifa Sall est placé en détention avec cinq de ses collaborateurs pour détournement de fonds publics. Cette arrestation fait suite à la conférence de presse du 3 mars 2017, au cours de laquelle le procureur Serigne Bassirou Gueye avait annoncé qu’une information judiciaire allait être ouverte contre Khalifa Sall un rapport de l’inspection générale d’État (IGE) fait état d’un détournement d’un montant de 1,83 milliard de francs CFA qui auraient été « pris des caisses » de la ville de Dakar « sans justification »
Le verdict son procès est rendu le 30 mars 2018 Khalifa Sall écope une peine de prison de cinq ans. Cette condamnation pourrait priver Khalifa de ses droits civiques et l’empêche de se présenter à l’election présidentielle 2019
Le 30 août 2018, la cour d’appel confirme la culpabilité ainsi que la condamnation à cinq ans de prison. Le lendemain Macky Sall révoque Khalifa Sall de ses fonctions de maire de Dakar par décret présidentiel.
Le 29 septembre 2019, il est gracié par le président Macky Sall, il retrouve ainsi la liberté après plus de deux ans détentions, dans l’affaire dite « caisse d’avance » de la mairie de Dakar
Le 26 juillet 2018 Khalifa Sall annonce, par une déclaration écrite rédigée depuis sa cellule de la prison de rebeuse (Dakar) être candidat à l’élection présidentiel de 2019, Khalifa bien qu’en détention, était parvenu à recueillir le nombre de parrainages, environ 52 000 signatures dans au moins sept région (sur quatorze)
En janvier 2019, sa candidature au présidentiel est rejetée par le conseil constitutionnel du fait de sa condamnation pour « escroquerie portant sur les derniers public »Ne parvenant pas à faire reporter la date du scrutin, il décide d’apporter son soutien au leader du mouvement Rewmi, Idrissa Seck.
Khalifa Sall figure sur la liste des 19 candidats publié par le conseil constitutionnel, candidat à l’élection présidentielle de 2024
Portrait de Khalifa ABabacar Sall candidat de l’election présidentiel 2024
Né le 1er janvier 1956 à Louga (Sénégal) Khalifa Sall, est un Homme politique, membre du parti socialiste, plusieurs fois ministre sous la présidence d’Abdou Diouf, maire de Dakar de 2009 à 2018
De parent commerçant, il a grandi à Dakar dans le quartier de Grand Yoff. Il a fréquenté école primaire Mor Fall il poursuit ses études au Lycée Blaise Diagne où il obtient son baccalauréat .IL s’inscrit à la faculté des lettres au département de Histoire et de Géographie à l’Université Cheikh Anta Diop
Entre-temps, il a enseigné comme professeur d’Histoire –Géographie dans un collège IL (lequel) de 1981 et 1982.IL obtient une maitrise d’histoire, puis un maitrise en droit constitutionnel en 1983.
En 1983 à la faveur des élections générales, il devient députe à L’Assemblée nationale, l’un des plus jeunes de cette législature marquée par la présence de plus en plus imposante de l’opposition diriger par Abdoulaye Wade
De 1984 à 2001, il est adjoint au maire de Dakar Mamadou Diop. En parallèle il reste députe jusqu’en 1993 comme membre du bureau, année au cours de laquelle il entre au gouvernement comme ministre délégué auprès du première ministre chargé des relations avec les Assemblées en succédant à ce poste à Coumba Ndofféne Bouna Diouf.
Il est le premier maire de la nouvelle commune d’arrondissement de Grand Yoff, de 1996 à 2000.
Le 18 avril 2009, Khalifa Sall est ainsi élu maire de Dakar. S’inspirant des conclusions des Assises Nationales prônant une gestion inclusive et participative, il fait de la transparence son cheval de bataille, déclinée, autour de deux axes majeurs : la bonne gouvernance avec l’objectif d’un service public municipal de qualité rendu aux citoyens suivant les standards les plus élevés de la transparence ; et la démocratie participative au moyen de nouvelles dynamiques inclusives afin de crées des cadres de mobilisation d’une citoyenneté active et vigilante.
Khalifa a également participé à plusieurs missions d’observation de l’Union africaine, sur les élections en Afrique. Il a été le secrétaire général de L’AIMF (Association Internationale des Maires Francophones) et le président de Cités et gouvernements locaux unis d’Afrique (CGLUA)
Khalifa SALL est réélu maire de Dakar, battant Amina Touré –alors première ministre –dans la localité de Grand Yoff. Khalifa dirige la coalition Taxawu Dakar ; qui gagne 15 des 19 Commune de Dakar
La nuit du 7 au 8 mars, 2017, Khalifa Sall est placé en détention avec cinq de ses collaborateurs pour détournement de fonds publics. Cette arrestation fait suite à la conférence de presse du 3 mars 2017, au cours de laquelle le procureur Serigne Bassirou Gueye avait annoncé qu’une information judiciaire allait être ouverte contre Khalifa Sall un rapport de l’inspection générale d’État (IGE) fait état d’un détournement d’un montant de 1,83 milliard de francs CFA qui auraient été « pris des caisses » de la ville de Dakar « sans justification »
Le verdict son procès est rendu le 30 mars 2018 Khalifa Sall écope une peine de prison de cinq ans. Cette condamnation pourrait priver Khalifa de ses droits civiques et l’empêche de se présenter à l’election présidentielle 2019
Le 30 août 2018, la cour d’appel confirme la culpabilité ainsi que la condamnation à cinq ans de prison. Le lendemain Macky Sall révoque Khalifa Sall de ses fonctions de maire de Dakar par décret présidentiel.
Le 29 septembre 2019, il est gracié par le président Macky Sall, il retrouve ainsi la liberté après plus de deux ans détentions, dans l’affaire dite « caisse d’avance » de la mairie de Dakar
Le 26 juillet 2018 Khalifa Sall annonce, par une déclaration écrite rédigée depuis sa cellule de la prison de rebeuse (Dakar) être candidat à l’élection présidentiel de 2019, Khalifa bien qu’en détention, était parvenu à recueillir le nombre de parrainages, environ 52 000 signatures dans au moins sept région (sur quatorze)
En janvier 2019, sa candidature au présidentiel est rejetée par le conseil constitutionnel du fait de sa condamnation pour « escroquerie portant sur les derniers public »Ne parvenant pas à faire reporter la date du scrutin, il décide d’apporter son soutien au leader du mouvement Rewmi, Idrissa Seck.
Khalifa Sall figure sur la liste des 19 candidats publié par le conseil constitutionnel, candidat à l’élection présidentielle de 2024
AÏDA FALL